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(Extrait d’un examen de Numération L3 et M1  Option pour l’IUFM)

EXERCICE :

Analyser le rôle du zéro dans une numération de position. Comparer avec la numération babylonienne et aztèque.

Une réponse :

Le pt zéro est la limite infranchissable que les mathématiques, par les découvertes précieuses et riches d’avenir qu’ont apporter les savants d’Afrique du N, suggéré de façon rigoureuse et particulièrement précise actuellement …(sur le plan philosophique et (mais) essentiellement scientifique)

Ce pt est la limite par exellence, celle qui nous permet de situer l’impossible dans la croyance que « la science peut tout expliquer » le pt 0, à l’image du vide est le rapport du symbole parfait, (le cercle), n’ayant pas d’angle géometrique (à moins de fractionner sa « structure géometrique »), et son indivisibilité exprimant sa propriété en tant que repère dans des domaines descriptifs, physiques, linguistiques, exprime sa nature originale et universelle. Mais cette dimension de ce qui était la mathématique science du nombre, pouvait à l’origine se polarisé, i-e, défini la logique d’une tel langage, communiquant avec l’espace par son opposé et son complémentaire, : l’. En effet, un pt est un repère, en tant qu’unité quelle qu’elle soit, mais sa structure physique diverge, (ou) tend vers une unité supérieure ou infinie, pouvant également exprimer celle du pt 0 mais n’intégrant en rien sa vertu primordiale dont l’idée de centre permet de situer le vecteur géometrique et ancestralement philosophique : le cosmos ; l’absence d’élement (air), au sens chimique, au sein du vide, mettait l’homme en rapport direct avec le problème de l’origine, du système solaire et des limites de sa pensée avec le monde extérieur (not. La communication).

Le zéro ne peut dériver, a priori, vers autre chose que lui-même, il est à la source même de l’origine et de l’être, sans devenir en même temps que limite absolue de toutes transformations des valeurs symboliques de l’animé et de l’inanimé. L’être, en tant qu’état originel et concept de pensée libéré du Ratio et de l’Ego, traduit ce que mathématiquement signifie le pt 0, en tant que nombre parfait, cependant le tant que represente ce symbole, propose un état de convergence « numérique » ; et illimité physiquement.

matière

 

A priori, « il est » indiscutable ;

Proposition d’examen aprochant le pt 0, quelle sens dans le langage parlé prend le pt 0

En tant que Valeur d’appréciation diverses formules

- celle du professeur

- dans les classes primaires, le zéro est un blame dont la ^portée est sous-estimée il correspond à ce que le devoir contient de imméritaire, en vertu d’une norme bien souvent abusive et refletant l’exigeance d’un système d’examen n’ayant aucune appréhension du « potentiel » des possibilités en developpement de l’enfant, ce pt 0 prend plus tard l’allure soit de l’honneur ; soit d’une angoisse ; il exprime malgré sa précieuses considérations mathématiques une relation mettant l’être devant une limite réelle et mystérieuse : la communication.

Particulièrement, en rapport direct avec l’enseignement, l’appréciation se fait sur le résultat, exprimé hors du cache, des limites imposées à l’institution, ainsi qu’aux professeurs.Cependant l’analyse de ce vecteur de l’éducation qui est le rapport de « transmettre , memorisé, comprendre » (ceci essentiellement pour perpetuer la progression de tout facteur élementaire à l’amelioration de tous …) (évolution personnelle des conditions etc …)

Considérons le sens réel du p. 0

Il est le signifiant de la limite par exellen d’un répère pour le s, : l’etat dubitatif de sa pensée.

Pour le physicien il est proche d’une perception de l’origine de l’Univers en tant que création, de même pour le Mathématicien mais avec la nuance d’une symbolique : une faculté de discernement : vérité et langage ont source au fond du temps, penser et écriture l’exprimant du vide cosmique de la structure biologique de l’energie, élementaire et vitale ;

Bien que, la « substance » du zéro en fait une limite, la vitesse semble gradué son ; estimation philosophale : la lumière est quantifiée, en symbiose avec la provenance de l’émeteur dont elle parvient, mais recrée par une fonction temps en unifiant son champ d’émission ;

Un examen complet, d’une source de connaissance, relate ce fait incompris, que nous visualisons, sans le representer d’une façon concevable a l’entendement, i-e sans le considérer en rapport à une transformation inadéquate alterée d’un concept convergent vers une autre limite : ;